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Monthly Archives: janvier 2015

Bonjour à tous, voyageurs en Equateur !

Nous sommes Nico et Justine, deux étudiants en agronomie actuellement en stage de développement rural dans la province de Carchi (qui n’a d’ailleurs pas le succès touristique qu’elle mérite !). Pour Noël, la visite de la famille de Justine nous a donné l’opportunité de faire un peu de tourisme en Equateur.

Nous disposions pour cela de peu de temps : un impératif de retour à Quito 8 jours après l’arrivée pour la première vague de départ. L’idée de notre tour était de faire découvrir le plus de facettes possibles de ce beau pays, tout en limitant le temps de trajet en voiture. Comme nous ne trouvons pas que la côte équatorienne vaille spécialement le détour par rapport aux merveilles que sont la Sierra et l’Amazonie, on a décidé de ne pas y aller et de faire une boucle Quito-Baeza-Puyo-Quito via l’Avenida de los Volcanes (avenue des volcans).

Pour un séjour de cette durée, la location d’une voiture nous paraît indispensable, sous peine de rester cantonnés aux environs proches de Quito ou de passer littéralement une semaine dans les bus. Nous avons profité des services de Tout-Equateur comme intermédiaire pour la location de la voiture et nous avons été super satisfaits ! Rapport qualité-prix bien plus intéressant que chez les agences internationales (tout compris on économise bien 30% !) pour cette petite agence de location, chez laquelle nous n’aurions peut-être pas osé venir sans les conseils rassurants de Tout Equateur.

Conclusion : n’hésitez pas, ça semble moins sécurisant que de réserver par une agence internationale sur Internet avec carte bleue et toutes nos sécurités à l’européenne, mais ça vaut le coup et on n’a eu aucun problème ! Bien se mettre d’accord sur l’heure de retour de la voiture (et, bien sûr, éviter d’oublier la façade de l’autoradio dans sa chambre d’hôtel à 45 minutes de bus de l’agence de loc’ :-)).

Par rapport à la conduite en Equateur, rien à dire, les routes traversent des paysages magnifiques dont on profite bien plus en voiture qu’en bus (et on s’arrête quand on veut !). La qualité des routes est nickel la plupart du temps sauf à certains endroits qu’on précise au fur et à mesure de l’itinéraire. Avec une voiture haute, pas nécessairement 4*4 (on avait un 4*2), on passe partout sans problème dans les routes citées ! Conduite de nuit à éviter sur des routes jamais parcourues de jour ou alors être très, très attentif aux éventuels nids-de-poule et aux ralentisseurs assassins !

Voilà donc le tour que nous avons choisi de faire :

Jour 1 : Arrivée, route pour Papallacta et détente dans les thermes

De notre côté retrait de la voiture dans l’après-midi à l’agence (mais on peut également demander moyennant un tout petit supplément à retirer la voiture à l’aéroport, ça reste archi archi compétitif par rapport aux budget, avis et autres hertz).

Arrivée à l’aéroport à 17h, retrait des bagages et départ pour Papallacta. La route est en travaux et assez défoncée par endroits, donc commencer par cette route de nuit peut être un peu chaud pour des gens fraîchement débarqués de 20 heures de vol. Commencer son séjour par une journée à Quito peut être une bonne idée. Montée direct aux thermes de Papallacta pour se relaxer en douceur de l’avion, eau à 38°C sous les étoiles, super mise en bouche. On a dormi à l’hôtel Coturpa, rien à dire. Les draps en polaire sont appréciés vu le froid ambiant et les proprios sont sympas et arrangeants (et c’est beaucoup moins cher que l’hôtel des thermes). Les thermes publics plus fréquentés par les locaux sont aussi sympas : situés un peu après l’entrée du village à gauche, et sont à 3$ contre 8.5$ en haut !

Jour 2 prévu : ballade dans le páramo, route pour Baeza

Nous avions initialement prévu un jour de flottement avec ballade dans le páramo pour les motivés (magnifique sentier qui descend du col La Virgen jusqu’au village de Papallacta en 5-6 heures), récupération dans les thermes et route jusqu’à Baeza pour y passer la nuit. Mais la famille de Justine est arrivée un jour en retard à cause de problème d’avions, nous obligeant à zapper ce « sas » avant la forêt, et à faire d’une seule traite la route Papallacta-Tena, assez longue.

Jour 2 et 3 : route pour Tena, premier jour au lodge Anaconda

Lever tôt et départ pour Tena. Paysage magnifique pour la portion Papallacta-Baeza, avec une magnifique vue sur l’Antisana par moment (voir un glacier émerger derrière la forêt tropicale permet de se rendre compte qu’on est bien parti de France =) ). Après Tena, encore 45 minutes de route jusqu’à Puerto Ahura, embarcadère du Anaconda Lodge, où nous avions réservé un séjour de 3 jours et 2 nuits.

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Par rapport à ce lodge, séjour globalement très sympa. La personnalité du propriétaire qui a eu l’air d’avoir 10 vies et sait bien en parler y est pour beaucoup, mais les balades dans la jungle ne sont pas mal non plus. Justine et moi avions déjà passé 4 jours dans la réserve de Cuyabeno et il faut avouer que d’un point de vue isolement et richesse de la flore/faune, les environs du Lodge Anaconda sont un peu en-dessous de ce qu’on avait vu là-bas (au Nicky Lodge, endroit EXTRAORDINAIRE). Pour les amoureux de la nature pouvant se permettre de laisser un peu de temps dans les transports, on conseille donc vivement de faire un peu de route pour s’enfoncer dans la « vraie » jungle, celle de Cuyabeno qui nous a émerveillés ou celle du Yasuni qui nous fait tant envie ! Mais la famille de Justine est quand même ressortie fascinée par ce milieu si étranger pour nous occidentaux, et par les contacts avec les communautés quechua des abords de l’île qui sont faits avec beaucoup de respect et d’intelligence. Et pour finir, la nourriture est vraiment super bonne, ce qui ne gâche jamais rien.

Jour 4 : Départ du lodge Anaconda, ruta de las Cascadas, nuit au pied du Chimborazo

Départ du lodge à 9h et route jusqu’à Puno. De là nous remontons vers Baños par la fameuse route des Cascades et ses paysages époustouflants. Arrêt au Pailon del Diablo, puis au Manto de la Novia, initiation aux tarabitas… Super sympa ! Nous continuons ensuite vers Riobamba en contournant le Tungurahua par des paysages lunaires (voiture haute recommandé pour cette route, et ne pas hésiter à demander son chemin). Arrivée à Riobamba pour un spectaculaire coucher de soleil sur le Chimborazo. Nous avons dormi au Chimborazo Lodge, dont le prix (55$/personne avec demi-pension) était un peu au-dessus du budget que nous nous étions fixé, mais qui est un endroit extraordinaire ! Nous ne pouvons que conseiller de casser sa tirelire pour dormir dans ce petit bout de steppe mongole à la déco haute-montagne très réussie, au pied du colossal Chimborazo. Et aider Marco Cruz, le grand monsieur de l’andinisme équatorien et le proprio de ce refuge-hôtel, à déménager dans son nouveau pied-à-terre, c’est sympa !

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Jour 5 : Ballade dans les communautés indigènes du Chimborazo, tour du Chimborazo par l’Ouest en voiture et nuit à Latacunga.

Les paysages autour du Chimborazo sont magnifiques et cette province à majorité peuplé d’indigènes et super rurale est restée très authentique. Aller se balader aux alentours des communautés pour voir les troupeaux traverser la route, les gamins garder les vaches donne apparemment l’impression de remonter 50 ans en arrière en France.

Nous avons ensuite repris la voiture pour faire le tour du Chimborazo par le versant Ouest et c’est vraiment à faire : les paysages sont incroyables, si il n’y avait pas les vigognes on se croirait sur Mars. Et argument météorologique, les vents venant d’Amazonie ont tendance à plaquer les nuages sur le côté Est (Riobamba) du Chimborazo. Résultat, alors que c’est la purée de pois terrible du côté Riobamba, c’est complètement dégagé avec une vue magnifique sur le glacier de l’autre côté (phénomène identique les deux fois où on s’est trouvé dans le coin, c’est apparemment le cas très souvent). Ça passe très bien en voiture. La route qui redescend sur Ambato passe par des communautés indigènes magnifiques, à recommander pour tous ceux qui aiment la campagne. Messe de Noël à la cathédrale de Latacunga et nuit à l’Hôtel Villa Tacvnga, très bien.

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Jour 6 : Marché de Saquisili et Cotopaxi

Ce jour-là étant un jeudi, on a décidé de se rendre au marché de Saquisili. Bien que ce soit le 25 décembre, pas de problème, il y a de l’activité. On recommande vraiment ce marché et notamment celui aux animaux. Pour nous ça vaut 10 fois plus le détour que la farce pour touristes d’Otavalo ! Y aller tôt, on n’a croisé les premiers touristes qu’à partir de 11h avant ça on était seul dans la fourmilière indigène, dépaysement garanti.

Initialement on avait prévu d’aller faire un tour à Quilotoa mais on a reculé devant la longueur des trajets. A intégrer sans hésitation à notre boucle avec un peu plus de temps !

On part donc au parc du Cotopaxi pour une nuit au Tambopaxi, autre endroit extraordinaire. Les barbecues situés au niveau du parking de bivouac sont accessibles et se faire un barbecue à 3800m avec le Cotopaxi sous les yeux c’est vraiment une expérience !

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Jour 7 : Ballade dans le parc Cotopaxi et Quito

Le parc du Cotopaxi est un endroit extraordinaire, une nature sauvage et grandiose. Nicolas est parti tôt le matin monter le Rumiñahui central, petit sommet malheureusement plongé ce jour-là dans une brume bien épaisse. Mais le chemin pour y accéder monte dans un páramo superbe avec des vues magnifiques. En entamant le tour de la laguna Limpiopungo par la droite, et en étant un peu attentif, on trouve un chemin qui monte raide sur la droite. Ça monte un peu, mais c’est superbe. Il doit y avoir moyen de faire une boucle et de revenir à la laguna en basculant dans la petite vallée d’à côté. Avis aux amateurs =)

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Après ça on reprend la route, une petite halte à la Reserva de Vida Silvestre au sud de Quito (voiture haute impérative vu l’état du chemin). Un sentier sympa dans un bout de forêt vierge accroché à une colline, et ça permet de voir d’un peu plus près les grosses haciendas laitières de ce coin-là (ça change des 3 vaches de la province du Chimborazo). Et pas très loin du tumulte de Quito ! En quelques dizaines de minutes nous voilà arrivés dans le Quito Colonial. On a dormi à l’hôtel Quito Cultural, très sympa (décoration faites par la propriétaire, patio type colonial… ) et d’un bon rapport qualité-prix pour le quartier. Par contre ne prenez pas les chambres qui font l’angle avec la rue, la fenêtre est au-dessus d’un feu de signalisation, et les indications sonores des feux de signalisation ont déjà dû rendre fou plus d’un client de cet hôtel…

Jour 8 : Mindo

Après un jour de musées à Quito (Casa del Alabado, à ne pas manquer, que ce soit pour ses collections précolombiennes, ou pour son architecture) et le départ de l’un de nos visiteurs, il nous restait deux jours à occuper.

Nous avons opté pour une escapade à Mindo. Sans voiture, il suffit de se rendre au terminal de la Ofelia, de prendre un bus et en 2h, nous nous trouvons dans la « forêt de nuages »… Encore une fois, dépaysement garanti. Nous avons trouvé un petit hôtel pas cher, situé un peu en marge du brouhaha de la rue principale (Mindo étant très touristique), Le Descanso. La particularité de cet hôtel est son jardin, enrichi depuis 25ans en plantes attirant les colibris. L’écosystème unique ainsi créé permet au touriste de pouvoir observer des colibris durant des heures… Singulier et apprécié !

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A Mindo, de multiples activités sont proposées : rafting, tubing, randonnées, tarabitas… Nous avons opté pour une randonnée aux aurores, favorisant l’observation des oiseaux : toucans et perroquets étaient au rendez-vous ! Un sentier/piste assez emprunté par du centre-ville et rejoint une magnifique série de cascades. Il y a 6km jusqu’à la tarabita qui fait traverser la vallée jusqu’aux cascades mais des voitures peuvent vous y avancer.

Voilà un petit compte-rendu de ce tour. On pense que l’idée de cette boucle Quito-Baeza-Puno-Quito est assez intéressante pour avoir un bon aperçu de l’Oriente et de l’Avenida de los Volcanes puisqu’elle permet de jamais avoir à revenir sur ces pas et traverse beaucoup de paysages différents. Si vous voulez plus de renseignements sur les endroits qu’on a visités, n’hésitez pas à demander notre contact à l’équipe Tout Equateur : nous nous ferons un plaisir d’y répondre !

Avec un peu plus de temps, nous aurions consacré un jour à nous enfoncer plus dans la forêt, sûrement aux alentours du Yasuni, un jour ou deux à une excursion du côté de Quilotoa …

Nicolas et Justine – Décembre 2014

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Pour ce dernier jour de travail avant Noël (21 décembre: jour du solstice) et la nouvelle année, mes collègues avaient organisé une sortie aux cascades de Peguche (près d’Otavalo). Le but était d’aller se baigner sous la cascade pour prendre l’énergie de l’eau et éliminer ses maux pour l’année qui vient. Un beau moment de partage que je ne suis pas prête d’oublier ! La promenade jusqu’à la cascade est sympa, le long de la rivière, avec une petite piscine sur le chemin. Un endroit sympa pour se détendre et se promener en famille ou entre amis !

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Et pour bien continuer dans la détente, rien de tel que « Las cabañas del lago ». Le lieu est unique : d’un côté le lac San Pablo, 2ème plus grand lac du pays, et de l’autre l’Imbaburra, magnifique volcan… C’est aussi un beau point de départ pour une journée de détente : il y a autour du restaurant des activités (surtout pour les enfants si je me rappelle bien), on peut se balader à pied autour du lac ou prendre la voiture vers d’autres points de vue sur le lac ou le volcan ! Et une fois par an, il y a une course de natation dans le lac : il faut s’accrocher, à environ 2500 mètres d’altitude l’eau est fraiche !

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Cratère Pululahua

Avec ses 300 mètres de profondeur et ses 4kms de diamètre, le cratère du volcan Pululahua est l’un des seuls au monde à être habité. Une trentaine de familles y vivent de façon permanente et une centaine de personnes viennent y cultiver la terre (très fertile).

Depuis le mirador du cratère du Pululahua, on peut observer le Cerro el Chivo et le Cerro Pondona, deux dômes de lave qui offrent de très belles vues et où vous pourrez rencontrer des papillons.

Le terme « Pululahua » signifie « nuage d’eau » en kichwa. Ce nom s’explique par le climat spécial qui y règne : le brouillard est souvent présent. L’humidité de la côte se condense dans le cratère créant un microclimat propice à la vie végétale et animale.

Le mirador du cratère est le point de départ de plusieurs randonnées, l’une d’entre elles vous mènera à des thermes naturels.

Essayez de vous y rendre le matin de préférence, vous aurez ainsi un peu plus de chance d’avoir une vue dégagée sur le cratère.

Le saviez-vous ? On dénombre plus de 1200 espèces de plantes et d’animaux dans cette réserve géobotanique.

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Museo Templo del Sol

Situé juste avant l’entrée du mirador du cratère du Pululahua, le musée Templo del Sol est situé sur la ligne équatoriale et on vous donnera l’occasion de le vérifier (ne goûtez pas le canelazo avant, cela pourrait fausser les résultats…)

En passant les portes de ce temple, on se retrouve immédiatement plongé dans une atmosphère particulière : un mélange de sacré et de sérénité.

Après quelques explications sur le calendrier solaire situé au milieu du temple et sur la ligne équatoriale, la visite se poursuit par une petite séance de relaxation dans une salle aux lumières tamisées où fleurissent les attrape-rêves. Quelques huiles essentielles essayées plus tard, le corps est apaisé et prêt à découvrir les autres pièces de ce temple.

Le premier et le second étage sont dédiés au peintre et sculpteur Cristobal Ortega, le peintre le plus rapide du monde (et oui, rien que ça !). Si vous avez de la chance, il sera de passage lors de votre visite et vous fera une démonstration. En une minute, et avec un instrument des plus naturels, ses mains, le Chimborazo apparait sur la toile ! Une expérience unique à vivre en Equateur !

La visite est également agrémentée d’une petite explication sur la feuille de coca et ses propriétés ainsi que d’une dégustation d’un thé de coca.

Si vous avez prévu de vous rendre au cratère du Pululahua, n’hésitez pas à faire un arrêt dans ce temple/musée et à demander si Cristobal Ortega est présent. Si c’est le cas, sautez sur l’occasion, vous ne serez pas déçu.

Le saviez-vous ? Cristobal Ortega est présent dans le livre Guinness des records pour avoir peint 100 œuvres uniques en une heure.

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Information Pratique :

Comment y accéder : A partir de la Mitad del Mundo, prendre un bus en direction de Calacali, signalez au chauffeur que vous voulez aller au cratère Pululahua. Le bus vous laissera au croisement indiquant le cratère. Ensuite il vous faudra suivre la route goudronnée indiquant le cratère jusqu’à arriver au mirador du cratère. (Ne prenez pas la route champêtre sur la droite indiquant mirador, bien suivre la route goudronnée jusqu’à arriver au mirador).

Horaire de visite du cratère du Pululahua : 8h- 17h (entrée gratuite)

Prix de l’entrée Musée Templo del sol : 3$/personne

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A chaque pays ses traditions pour Noël et le nouvel an, l’Equateur a aussi ses surprises ! Certaines choses ressemblent à la France : les cadeaux à Noël (pour lesquels malheureusement certaines familles peuvent s’endetter et continuer à payer les cadeaux jusqu’en juin), les bons repas en famille, la fête entre amis…

Un Noël sur la Costa offre quelques dépaysements. Bon bien sûr il fait plutôt chaud alors pour la neige il faudra repasser… mais tout est possible, même trouver un bonhomme de neige gonflable qui change « Merry christmas and a happy new year ! » (et oui on sent l’influence de la culture américaine, pour le meilleur comme le pire !).

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C’est surtout pour la nouvelle année que l’on retrouve des traditions très particulières. Avant le 31 décembre, chaque maison prépare des marionnettes de papier à l’image de personnes de la famille ou de personnes connues, et les installe devant les maisons. Pour le 31 décembre, on leur ajoute des testaments souvent ironiques, et les mannequins sont brûlés avec leurs testaments, la nuit du 31.

C’est une manière symbolique de quitter l’année qui s’achève ! Le 1er janvier a donc une atmosphère un peu spéciale, avec des tas de cendres encore fumants le long des rues…