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Monthly Archives: avril 2017

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En Équateur, se nourrir « sur le pouce » est un geste très répandu et les rues sont pleines de petites échoppes qui proposent une « street-food » qu’il serait dommage de manquer tant elle fait partie de la culture du pays. Les habitants dégustent ces plats à toutes heures du jour. Bien souvent il s’agit de plats simples, pratiques à manger, variés et bon marché.

Cet article vous amènera dans les rues équatoriennes à la découverte de la richesse gastronomique du pays. Suivez le guide, c’est un grand gourmand comme vous !

Où trouver les stands ?

On retrouve des stands de nourriture un peu partout, dans les villes aux abords des places, des bureaux, des universités, dans les parcs et près des arrêts de bus.… Ils fleurissent d’avantage les jours de fêtes ou les weekends. Outre les stands, on retrouve aussi de nombreux marchands ambulants qui vendent divers produits en arpentant les rues.

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Se laisser tenter ou avoir peur ?

On a l’habitude de croire que la nourriture servie dans la rue peut être parfois douteuse. Cette petite réticence peut parfois se justifier mais il serait dommage d’en faire une généralité en se privant de tout un pan de la culture gastronomique équatorienne ; d’autant plus que l’on n’est pas forcement plus à l’abri dans un restaurant. La qualité (et la fraicheur des ingrédients) dépend des stands mais en général les risques sont minimes. Eviter les ingrédients crus (la viande est souvent servie bien cuite), les fruits et légumes non pelés et la glace dans vos jus de fruits.

Mais surtout, faites confiance aux Equatoriens ! Une foule massée autour d’un stand sera toujours un gage de qualité et si vous avez des doutes, n’hésitez pas à demander des recommandations aux gens dans la rue, ils se feront un plaisir de vous indiquer l’endroit à ne pas manquer.

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Voici maintenant 15 plats que vous allez sans doute rencontrer en vous promenant dans les rues équatoriennes.

Fritada : Très populaire dans la Sierra, la fritada se compose de morceaux de porcs que l’on fait cuire dans une grande casserole avec de l’eau. Une fois l’eau évaporée, la viande va frire dans sa propre graisse et donner de délicieux morceaux de porc croquants.

Servie avec du maïs, de la banane plantain et du riz, c’est un plat de montagne très riche qui comble bien les estomacs les plus affamés.

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Corviche : Petit beignet à base de plantain, de cacahuète et poisson que l’on retrouve dans la rue mais aussi chez les vendeurs ambulants qui montent dans les bus.

Chifles et patacones : Voici encore différentes façons de consommer la banane plantain. Les chifles sont des chips de banane. Ici on les déguste à tout moment comme un petit encas.

Les patacones sont des rondelles de plantain écrasées et frites et, comme le riz, ils accompagnent la majorité des plats équatoriens.

Ceviche sur la plage : La côte équatorienne vous donnera l’occasion de goûter aux délicieux ceviches vendus sur la plage. C’est une sorte de soupe froide dans laquelle on retrouve au choix : crevettes, poissons, calamars, fruits de mers le tout agrémenté d’oignons rouges, de citron vert, de tomates et de coriandre. N’hésitez à y tremper les chifles et popcorn que l’on vous proposera avec.

Sur la côte, il va sans dire que la saveur est particulière tant le poisson est frais… Un délice !

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Empanadas : Voilà un immanquable de la gastronomie équatorienne et plus largement sud-américaine qui se décline en de nombreuses recettes. Il s’agit d’un chausson fourré avec différents ingrédients, souvent une farce à base de viande ou de fromage frais. Une variante typiquement équatorienne est l’empanada de viento : une empanada frite, fourrée de fromage et saupoudrée de sucre.

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Cevichochos : La zone andine a aussi son ceviche, ici on remplace le poisson par le chocho, la graine issu d’un lupin local.

A Puyo, en Amazonie, il existe une variante qui mixe le ceviche de chochos avec du thon en boite, il s’agit du volquetero.

Pinchones : Les Pinchos (ou pinchones) désignent les brochettes sous toutes leurs formes. Les plus communes sont les brochettes de viande au grill sur lesquelles on enfile poulet, plantain, poivrons, chorizo. On trouve aussi les pinchos de maïs grillé.

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Dans un autre registre, les pinchos de frutas vous rafraichiront avec leur délicieux mélange de fruits.

Les plus audacieux d’entre vous pourront tenter los pinchos de mayones. Une spécialité amazonienne qui se compose d’une belle rangée de vers sur une brochette provenant d’un arbre local. Si l’idée peut vous paraître rebutante, il paraît que c’est un met très riche et plein de protéines…

Encebollado : Avec le crabe, c’est le symbole culinaire de la ville de Guayaquil. Très présent sur la côte, c’est une soupe de poisson (généralement du thon) qui à l’inverse du ceviche est servie chaude. On ajoute des tomates, du manioc, des oignons, coriandre et épices. Son nom vient des oignons (Cebolla) que l’on ajoute à la soupe.

Pan de yuca : Délicieux pain de manioc soufflé au fromage, le pan de yuca est un petit « snack » qui se déguste à toute heure. Il existe des variantes dans différents pays d’Amérique latine, en Equateur on aime le manger avec du yaourt.

Bolones de verde : L’Equateur est un pays ou la culture de la banane est omniprésente et ce produit phare va se retrouve très souvent dans les assiettes. Les bolones de verde sont des petites boulettes de plantain frites dans lesquelles on incorpore du fromage ou de la viande.

Elles sont souvent servies au petit déjeuner pour commencer la journée avec le plein d’énergie.

Humitas : C’est un dessert à base de maïs très consommé dans les Andes. On prépare une pate de maïs, à laquelle on ajoute du fromage, puis on enveloppe cette préparation dans la feuille qui entoure l’épi de maïs. Une fois fermée, on cuit les humitas à la vapeur.

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Espumillas : Petites douceurs traditionnelles en Equateur, elles se préparent à base de blanc d’œuf, de sucre et de pulpe de fruit. Au premier abord on pourrait croire à un dessert glacé de part sa texture et le fait qu’il soit servi dans des cornets, mais lorsque l’on y goute, les espumillas ressemblent plus à de la mousse.

Salchipapas : C’est un basique des stands de rue équatoriens. Salchi signifie saucisses et papas signifie frites. En gros des frites et des saucisses à hot-dogs… basique mais efficace !

Jugos et batidos : Le climat très clément de l’équateur est un paradis pour de nombreux fruits et les Equatoriens en sont de gros amateurs. On les consomme sous différentes formes, mais l’une des plus populaires reste de les mixer pour les apprécier en jus. On peut demander ses fruits mixés avec de la glace ou mélangés avec du lait. Si vous voulez votre jus sans sucre pensez à le préciser au vendeur.

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Bananes, fruits de la passion, mûres, ananas… il y a l’embarras du choix et il serait dommage de s’en priver tant le goût est différent et plus savoureux que chez nous.

Helado de paila : Cette fois-ci, voilà une glace, une vraie ! Les Equatoriens en sont très friands.

On prépare cette glace artisanale, à base de crème, dans une grande casserole placée sur des blocs de glace. On fait tourner la casserole pour que la préparation se refroidisse et se fige puis, on récolte la crème glacée avec une cuillère. Comme toutes les glaces, les saveurs se déclinent à l’infini : mûres, chocolat, cannelle, coco, taxo…

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À la recherche d’excursions en Amazonie équatorienne, je suis tombé sur le site de toutequateur, nous avons demandé un devis et Léon m’a proposé un café pour en parler… .J’étais un peu surprise et méfiante. Nous avons rencontré François le français, jeune sympa et plein de bons plans comme Léon ! Il proposait un prix plus bas que la moyenne, pour le Dolphin Lodge à Cuyabeno, prononcer « couille à Béno ». 5 jours 4 nuits d’Amazonie avec guide et tout compris !

Après cette rencontre nous sommes partis sans hésiter, les informations étaient complètes et rassurantes.

Le départ se fait de nuit, nous avons pris un bus, 8h, moins cher mais moins confortable que le transport privé depuis Quito ! Une nuit difficile… Le rendez-vous du matin à l’hôtel de Lago Agrio est bien pensé, petit déjeuner à prix réduit, avant d’embarquer dans le mini van pour 2h de route et de rencontrer les autres participants de l’aventure. Petite pause déjeuner avant de prendre la barque à moteur, 2h, avec le guide, Camillo, qui prend le temps de s’arrêter et d’expliquer et même si tout le monde est crevés on a bien les yeux ouverts !

C’est le début de la découverte de la faune et de la flore. Nous avons vu un paresseux accroché à son palmier, les hoatzins, oiseaux préhistoriques genre de grosses dindes hurlantes et des singes- écureuils, capucins, sakis. Arrivés au lodge, pause café, brief du programme, puis détente dans les hamacs sur le ponton, avec vue sur les dauphins !!! 1er jour mission accomplie !

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Les journées sont bien remplies, de 8h du matin le petit déj, à 13h le déjeuner, puis de 16h à 20h le dîner, et parfois sorties nocturnes, tous les jours une activité différente, balade en forêt primaire, pêche aux piranhas, barque à la rame pour observation de la faune, coucher de soleil sur la lagune, baignade et birdwatching…

Nous avons découvert les plantes médicinales, rencontré une communauté, les Sionas, et une séance spéciale avec le chaman, (facultatif :je me suis faite fouettée avec des orties!!! Ça favorise la circulation).

En bref : génial, inratable et pour avoir fait le Pantanal au Brésil, ici c’est beaucoup moins cher !

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Les lodges sont propres, bien adaptés à l’environnement, pas toujours d’eau chaude car dépend des panneaux solaires. Peu d’intimité car pas de fenêtres mais des moustiquaires, pour profiter des sons de la nature !

Le trajet pour y arriver est fatiguant, mais ça s’oublie vite on ouvre les yeux et les oreilles, autour de nous la nature, la vraie, préservée à l’état brut ! Un bijou !

Le guide, top, bon niveau d’anglais, et parle lentement en espagnol pour ceux qui veulent apprendre. Il a plein de connaissances sur son environnement puisqu’il a grandi dans la région, comme il l’a dit « ses plus gros jouets étaient les singes » !

Pleins de choses à découvrir à Cuyabeno, des oiseaux, les dauphins roses toujours devant le lodge, un café le matin dans les hamacs à les observer, un vrai plaisir… Les insectes de folie ! Tarentule Goliath, serpents, grenouilles fluos venimeuses… Et une végétation sauvage pleine de secrets.

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Merci à l’équipe de Tout Equateur pour le bon plan ! Merci aussi à l’équipe du Cuyabeno Dolphin Lodge.

Isabelle et Yoan

Et voilà… Déjà le retour en France après deux superbes semaines en Equateur.

Ce carnet c’est l’occasion pour moi de revivre une partie de mon voyage et de pouvoir vous en faire part.

Le 4 février 2017, arrivée Chez Léon Colonial avec mon meilleur ami, un peu fatigués forcément. 18h de vol, une escale à Atlanta puis on arrive sur Quito et c’est vrai que l’altitude ça se ressent au départ ! Lendemain matin briefing avec des membres de l’équipe Tout Equateur, super accueil, très gentils et puis des conseils qui ont vraiment changé notre voyage.

On a longtemps hésité pour le 4×4 avec mon ami et puis on s’est lancé. Pour deux semaines de voyage, ça donne plus de liberté et d’autonomie, ça permet aussi de sortir des sentiers battus (360 $ pour une semaine et des pleins juste à 15 $ !!!).

Première étape donc départ pour Papallacta :  on voulait profiter des sources thermales pour se reposer, on a dormi sur place (parce que la réduction avec la carte premium était intéressante) et le lendemain direction Puyo. Sur les forums, j’ai vu que beaucoup partaient à Tena pour faire les portes de l’Amazonie, et peu à Puyo, l’équipe m’a conseillé d’aller là-bas et je n’ai pas été déçu ! Quasiment personne sur les routes, qui sont d’ailleurs en très bonne état, et des gens géniaux, car on s’est quand même beaucoup perdus et ils nous ont beaucoup aidé ahah.

Vue chambre Bellandia Lodge

On est parti dormir au Bellandia Lodge, à environ 1h de Puyo, et là on s’est dit qu’on avait bien fait de prendre le 4×4 : une bonne demi-heure de piste pour y accéder. On a été accueillis chaleureusement par Juan Carlos et sa femme qui ont repris le lodge il y a quelques mois. On s’est fait un petit plaisir, c’est vrai qu’en même temps c’est 25% moins cher avec la carte premium, autant en profiter ! Leurs casitas sont très confortables, on se sent vite chez soi, la nourriture est délicieuse et ils vous proposent de faire plein de balades : découverte de leur forêt secondaire, baignade dans une cascade, etc.

Point de vue route Puyo aÌ Macas

Le lendemain, on est passé par Puyo, on en a profité pour s’arrêter au « Jardin Botánico Las Orquídeas ». Mais faute de beau temps on a dû continuer notre route vers Macas, tout en passant par le parc Sangay, où on a pu voir le monstre enneigé d’un côté, l’Amazonie de l’autre, fabuleux. Bien sûr, on a aussi profité des lagunes et des bons petits plats à base de poisson. On nous a donné un contact pour faire l’ascension du volcan, mais c’est sur plusieurs jours, et on doit partir pour les Galápagos dans pas longtemps, ça sera pour une autre fois !

Route entre Macas et Rio Bamba

Petit arrêt à Macas avant de continuer la route pour Riobamba où nous avons dormi chez un partenaire : Casa 1881. Très bel accueil, hôtel charmant et surtout prenez feuille et stylo, le gérant vous donne 50 conseils et bons plans à la minute. On est monté ensuite jusqu’au Chimborazo (en passant par le marché aux bestiaux de , mais manque de chance tempête de neige ! Bon on est quand même allé jusqu’aux 5 000 mètres pour prendre la fameuse photo souvenir ! A l’occasion, je vous conseille de vous y arrêter pour y manger un bout, pas cher et très bon (6$).

Chimborazo

On arrive à la fin de notre boucle avant le départ aux Galápagos depuis Quito. Pour terminer, ça sera Guaranda et un magnifique village dont nous a parlé Marco : Salinas de Guaranda. 800 âmes dans le pueblo et un système de coopérative avec plein de microentreprises pour faire vivre la région et ses habitants, on a trouvé le concept très sympa et intéressant. On a donc fait un tour organisé juste pour nous 2 du village et ainsi les découvrir. On a dégusté le fromage local, très très bon pour une fois, et du chocolat. Le lendemain, direction Quito en passant par une route super pittoresque entre le Chimborazo et Ambato. Si vous avez la voiture, pensez-y, c’est top surtout qu’on croise très peu de monde (à part des vigognes !!!).

Marcheì aux animaux - Colta

Bon, déjà le départ, l’avion nous attend pour faire une croisière aux Galápagos, qui sera probablement l’objet d’un autre carnet de voyage.

Conclusion : une très belle aventure où conduire est agréable tant les paysages sont divers et variés avec aussi une partie culturelle très intéressante grâce à la rencontre de plusieurs communautés. Et puis très peu de touristes !!! Il faudra quand même revenir pour découvrir tout ce qu’on a pas pu voir en si peu de temps.

Encore merci aux Équatoriens pour ce beau voyage !

Adrien & Jérôme

3 semaines, 2 frères, 1 pays. La cerise sur le gâteau ? Une croisière aux Galápagos !

Nous avons opté pour 8 jours à bord du Fragata en dernière minute sur les bons conseils des jeunes de l’équipe de Tout Equateur. Voici un (long) aperçu de ce que vous réserve l’archipel :

Jour 1 – 4 novembre 2016 : Départ de Quito pour Santa Cruz et découverte de Bachas

Après un réveil matinal, un taxi rapide jusqu’à l’aéroport (45 minutes, 25 US$ pour les deux) et l’enregistrement en 2 étapes de nos bagages, nous voilà embarqués pour Santa Cruz. Notre guide anglophone, Julio, nous attend à l’arrivée. Après avoir retrouvé tous les autres passagers et quelques minutes de trajet en bus et bateau, nous découvrons notre yacht, le Fragata. C’est simple et propre, ça sera parfait pour profiter de l’archipel !

Cet après-midi, nous commençons notre découverte avec la plage Bachas de Santa Cruz. Et déjà nos premières surprises ! Les paysages volcaniques sont vraiment étonnants, un mignon petit oiseau jaune nous souhaite la bienvenue. Plus loin, un héron, un flamand rose ou encore un iguane se reposent tranquillement.

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De retour sur le yacht, l’équipage nous propose des combinaisons. En bons bretons, ayant pensé à emporter quelques vêtements adaptés, nous préférons juste louer le masque et le tuba. L’eau est froide ici ? Pas autant que la Manche ! Et au pire, nous pourrons toujours revenir sur notre décision plus tard, le bateau est très bien équipé.

Ce soir, par précaution, nous prenons quelques médicaments pendant le dîner pour éviter le mal de mer (même si le capitaine nous garantit que la nuit sera calme !). Nous nous couchons tôt, nous sommes un peu fatigués et nous voulons profiter au maximum de notre première vraie journée.

Jour 2 – 5 novembre 2016 : L’île Genovesa, une première exceptionnelle !

Si nous avons choisi cet itinéraire, c’est beaucoup pour elle (et Española). La nuit a été calme selon l’équipage, agitée selon nous. Nous avons quand même bien dormi, peut-être grâce aux médicaments ou sûrement à la fatigue.

Ce matin, nous partons pour une randonnée à El Barranco. Nous marchons jusqu’à une falaise où nous pouvons observer de nombreuses oiseaux. En chemin, nous sommes accompagnés par des fous à pattes rouges (oui oui, c’est unique au monde !!!). Ils n’ont même pas peur de nous, nous sommes vraiment seulement à quelques mètres à peine d’eux ! Nous avons aussi la chance de voir des petits des frégates, facilement reconnaissables à leur grand bec.

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Après cette balade sur l’île Genovesa, nous rentrons sur le bateau où nous attend un snack ! Une petite collation bienvenue après toutes ces émotions. Je ne pensais pas que c’était possible de voir des oiseaux d’aussi près et je ne suis pas au bout de mes surprises, ce n’est que la première matinée !

L’après-midi, nous partons pour Darwin Bay sous un magnifique soleil. C’est l’occasion d’apprécier une autre facette de l’île avec tous ces cactus. Nous pourrons aussi voir nos premières otaries se dorant la pilule sur la plage. Et même le squelette d’une baleine ! Après une petite balade, nous faisons un peu de snorkeling, l’occasion de goûter à l’eau des Galápagos et de voir nos premiers poissons.

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À chaque fois, nous sommes presque tous seuls sur l’île, juste notre groupe de 15 passagers ! Nous croisons rapidement un autre groupe à bord du Golondrina, yacht qui a exactement le même itinéraire. Ce sont des conditions privilégiées pour profiter de ce paradis naturel.

Après un bel après-midi sur la plage, retour au bateau pour le dîner et une deuxième nuit à bord du Fragata. Une grande traversée nous attend, nous continuons avec les médicaments par précaution.

Jour 3 - 6 novembre 2016 : Les îles Bartholomé et Santiago, encore mieux qu’en rêve !

Nous avions beaucoup entendu parler de Bartholomé, nous n’avons pas été déçu et elle a même réussi à nous surprendre. Nous commençons par une randonnée à pied jusqu’au au sommet. La vue est impressionnante ! Une photo de groupe est obligatoire pour immortaliser ce début de croisière paradisiaque.

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De retour sur la bateau, nous nous préparons pour une sortie snorkeling. À peine sous l’eau, nous nous retrouvons nez à nez avec des… requins ! Prenant mon courage à deux mains, j’essaye d’en suivre quelques uns. Nous aurons aussi la chance de voir un couple de pingouins. Julio est vraiment top pour observer la nature, il voit tout !!! Nous terminons par un petit moment de détente sur la plage.

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L’après-midi, nous naviguons un tout petit peu seulement pour explorer Santiago.  La végétation est presque inexistante, nous marchons sur des coulées de lave ! Oui, c’est ma première fois et je suis un peu ému, j’ai l’impression d’être dans une émission de TV5. Et l’eau est encore plus turquoise que sur les cartes postales. Dès que Julio nous le propose, nous ne résistons pas à une petite baignade. Bien nous en a pris, nous découvrons notre première tortue marine et je joue même avec une otarie. Tout simplement GENIAL !!!

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De retour sur le bateau, pas encore rassasiés par toutes ces surprises, mon frère et son nouvel ami suédois prolongent le plaisir sur le pont arrière du bateau. L’équipage a vu un gros requin rôdé dans le coin et ils ne veulent pas le rater. Personnellement, j’en profite pour observer le coucher de soleil en compagnie de frégates.

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De retour sur le yacht, nous passons le dîner et la soirée avec notre groupe international (Etats-Unis, Suède, Suisse, Allemagne, Hollande et France) super sympa à parler de tout ce que nous avons vu. Ce soir, pas besoin de médicaments, nous allons faire de beaux rêves après tout ce que nous avons vu aujourd’hui. Quelle journée exceptionnelle !

Jour 4 – 7 novembre 2016 : Plazas et Santa Fé, deux îles qui méritent d’être connues

Sur cette petite île, nous sommes accueillis par les cris d’un macho alpha ! Et oui, monsieur protège énergétiquement sa colonie de femelles. Ca impressionne la première fois mais on s’y habitue vite.

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Plazas est vraiment atypique avec sa végétation rougeoyante. Nous aurons la chance d’y voir beaucoup  d’oiseaux et surtout un iguane en train de manger un cactus. Oui oui, un spectacle très rare d’après Julio. D’ailleurs, il nous expliquera que ces iguanes ne devraient pas vivre ici et le Parc National a pour projet de les emmener sur leur île « normal » sinon ils risquent de tuer toutes les plantes locales en quelques années.

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Je vous garde le meilleur pour la fin. Nous avons vu plein d’otaries avec leurs petits. So cute comme diraient nos amis américains !

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De retour sur le bateau, nous avons navigué en direction de Santa Fé. Pendant que mon frère faisait la sieste dans la chambre, j’en ai profité pour bouquiner un peu sur le « solarium » du bateau.

Après le déjeuner, nous avons commencé par une longue session de snorkeling. A mon avis, nous sommes bien restés une heure dans l’eau ! Et qu’est ce que nous avons encore vu ? Oui, des tortues, des requins et des raies. Bien sûr, il y a aussi plein de poissons mais je ne connais pas leurs noms. Ah si, le Trumpet Fish et c’était d’actualité avec les élections américaines.

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Ensuite, nous avons fait une petite balade à pied sur l’île jusqu’au coucher de soleil. Nous avons eu la chance de voir notre premier rapace et de pouvoir s’approcher à quelques mètres à peine pour le photographier. Comme quoi, il n’y a pas toujours besoin d’appareil photo avec un grand zoom pour faire de beaux clichés aux Galápagos !

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Encore une belle journée avec de superbes surprises. Nous ne nous attendions pas à autant de trésors sur ces 2 îles et nous avions tort, elles sont vraiment magiques surtout que nous étions encore que 2 bateaux tout l’après-midi. Maintenant habitués à la croisière, nous oublions les médicaments et dormons encore une fois comme des bébés.

Jour 5 – 8 novembre 2016 : L’incontournable Kicker Rock de San Cristobal et l’île Lobos

Aujourd’hui, nous nous levons très très très tôt pour aller faire du snorkeling à Kicker Rock (Leon Dormido en espagnol), l’un des spots les plus connus de l’archipel. Nous sommes les premiers sur place. Malheureusement, l’eau est trouble et nous ne verrons pas grand chose. Ca reste une expérience de traverser au milieu de ses imposantes falaises.

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En partant pour la plage, nous avons une chance inouïe !!! Julio voit au loin des dauphins et le capitaine arrive à s’en approcher. Nous avons même l’occasion de nager avec eux. Promis, je vous partage une vidéo bientôt avec l’aide de l’équipe Tout Equateur.

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Après toutes ces émotions, nous avons un moment de détente sur la plage. L’occasion de se baigner, de photographier de jolis petits oiseaux et de faire le pitre avec les otaries !

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Au deuxième arrêt, à Cerro Brujo, nous ferons une petite balade à pied. Nous verrons encore et toujours de très près des fous à pattes bleues et des frégates. Et aussi des petits otaries tout mimi.

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Au port de San Cristobal, nous profitons du temps libre pour aller visiter le centre d’interprétation. Il est vraiment super intéressant ! En plus, il y a des petites balades à côté, c’est très sympa. Nous avons terminé sur la plage à regarder les surfeurs et le coucher de soleil pendant que nos compagnons de croisière préféraient aller sur internet (dur dur de vivre sans pendant une semaine pour certains !).

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Wahou que j’ai envie d’y retourner ! La nature fait vraiment bien les choses et j’espère que les Équatoriens réussiront à protéger ce petit paradis naturel malgré tous les dangers qui le menacent. En tout cas, encore des souvenirs plein la tête aujourd’hui.

Jour 6 – 9 novembre 2016 : Española et ses fameux albatros !!!

Celle-là, je l’attendais avec impatience ! C’est que je connais bien mon poème de Baudelaire.

Le matin, nous commençons par une randonnée à pied. Même si un autre groupe un peu bruyant et lent nous perturbe un peu, nous arrivons à profiter pleinement du spectacle que nous offre cette île. Oui, il y a des dizaines d’albatros à terre et dans les airs. Ils sont encore plus impressionnants en vrai qu’à la télé et aussi maladroits que dans Bernard et Bianca ! Pour le coup, j’aurai aimé un meilleur appareil photo mais je garde de belles images en tête, c’est le plus important.

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Encore une fois, nous verrons de jolis petits otaries. Et aussi plein plein d’iguanes marins !

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L’après-midi, détente sur la plage au programme ! Nous en profitons bien sûr pour nous baigner et observer encore une fois la vie sous-marine. Même si l’eau est un peu trouble, nous verrons quelques tortues, raies et poissons en tout genre. C’est sur le sable que le spectacle est le plus impressionnant, avec un squelette de baleine et un rapace mangeant. Ce n’est pas très appétissant mais ce sont les lois de la nature.

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Et encore une journée exceptionnelle dans ce paradis naturel ! Malgré mes attentes élevées, j’en ai pris plein les yeux et j’ai tout adoré. Après un bon dîner, nous improvisons une soirée « jeu de cartes » avec les compagnons internationaux. Moment convivial parfait avant une bonne nuit de sommeil.

Jour 7 – 10 novembre 2016 : Dernier snorkeling à Floreana et tortues géantes de Santa Cruz

Pour cette dernière journée entière en croisière, nous nous levons tôt pour une sortie en snorkeling. Bon, l’eau est un peu froide mais nous y allons avec plaisir. Quelques tortues, raies, otaries et requins sont au rendez-vous ici à Devil’s Crown (couronne du diable !!!).

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Ensuite, après un petit-déjeuner très copieux (l’eau, ça creuse !), nous faisons une petite balade à pied sur l’île. Ce sera l’occasion de revoir quelques flamands roses et toucher un sable hyper fin.

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L’après-midi, ça sera Santa Cruz. Sur les bons conseils de l’équipe Tout Equateur et de Julio, nous privilégions un tour sur les hauteurs de l’île pour voir des tortues géantes en liberté. Ca sera El Chato 2 pour 15 US$ en taxi et 2 US$ d’entrée (avec café et thé à disposition). Tellement c’est grand, c’est facile d’y passer plus d’une heure et sans être embêté par les autres touristes.

Sérieusement, même en s’y attendant, ces tortues géantes et centenaires, c’est génial ! Bon, surtout que 2 nous ont réservé un spectacle interdit aux enfants…

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Bien sûr, nous passons aussi à la criée au port de Santa Cruz. Malheureusement, c’est plutôt calme, les pêcheurs étant rentrés bien plus tôt. Nous évitons le centre Charles Darwin, il est encore en travaux et tout le monde en revient déçu. Il y a une petite plage tranquille à côté pour ceux qui cherchent à se baigner au calme ou à surfer.

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Dernière soirée à bord, l’équipage nous fait ses adieux en tenue de gala ! Ils nous rappellent aussi les petites enveloppes dans les chambres pour les pourboires. Tellement la croisière a été exceptionnelle et le personnel aux petits soins, nous allons participer de bon cœur. Cette dernière nuit à bord sera très calme, nous ne naviguons pas pour une fois.

Jour 8 – 11 novembre 2016 : North Seymour avant les adieux

Dernière matinée sur l’archipel, c’est dur de se dire que c’est bientôt fini ! Nous profitons à fond des derniers instants.

Même si ce n’est plus la saison des amours, nous avons la chance de voir des frégates mâles à la recherche d’une compagne. C’est un peu tard, ils risquent de pas trouver cette année… mais ça nous fait un drôle de spectacle. Que ça doit être dur de voler avec cette grande bulle rouge au cou !

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Bien sûr, nous ne pouvons pas repartir sans avoir revu un iguane, un fou à pattes bleues et… un petit otarie avec sa mère.

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Avec toutes ces belles images dans la tête et riches émotions dans le cœur,  notre croisière se termine.

Ces 8 jours au paradis n’auront pas eu de prix ! Mille mercis à Dame Nature de nous offrir tant de trésors, nous nous sommes vraiment sentis privilégiés de pouvoir apprécier autant de beauté et de diversité pendant toute cette semaine.

Et bien sûr, merci à l’équipage du Fragata et à l’équipe de Tout Equateur pour nous avoir permis de vivre cette belle aventure aux Galápagos. Ca valait vraiment le coup de vous faire confiance.

Un petit conseil aux voyageurs du Réseau Solidaire ? Partez en croisière ! J’essaye de vous partager des vidéos bientôt. Et peut-être le reste de nos aventures en Equateur.

Bon voyage à tous,

Pierre & Paul

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13 mars 2017 – Départ pour Baños et ses cascades !

Herman, notre taxi man à qui on a donné rendez-vous, nous attend devant le Solera house hôtel à 6h00 du matin. Cette fois, on ne prendra pas le bus car demain soir on reprend l’avion pour Toulouse de l’aéroport de Quito . On doit y être maxi 19h00 car on décolle à 21h00. On veut profiter d’un max de temps à Baños et le taxi nous fait gagner beaucoup de temps. Hernan nous demande 150$ pour l’aller/retour et nous conduire à l’aéroport le lendemain. C’est correct d’autant plus que l’on divise en 3, 50$/ personne ça va.

On s’arrête en route pour une petit déjeuner. On arrivera à notre hôtel Dulce Amanecer 3h00 plus tard. Le prix de la chambre pour 3 : 31$ taxes de 14% comprises. L’hôtel est sympa et très bien situé. Pour ceux qui viennent en bus, c’est pratique car le terminal des bus est juste à côté. L’hôtel nous propose de faire 3 tours avec le Chiva à 5$ le tour. On prend : les 3

  • Le 1er est à 10h : routes des cascades ( 3h)
  • Le 2em est à 16h : casa del arbol +++ ( 3 h)
  • Le 3em est à 21h : mirador ( 2h )

On dépose nos sacs dans notre chambre et nous voilà dans le Chiva (on les entend venir avec leur musique à fond ! On dirait une discothèque ambulante !). On arrive à une des cascades et nous prenons la tarabita (2$/pers), on est dans une nacelle en métal et on surplombe la cascade.

Banos Ruta de las Cascadas 2 - Valerie Florval

Puis à une autre cascade, on peut voler comme un oiseau en glissant le long du câble pour 10$. Et enfin on arrive à la cascada del Diablo, on paye le droit d’entrée de 2$ / pers .

Banos 1 - Valerie Florval

Quelle force!!! Un arc en ciel s’est formé sur la cascade c’est magique ! La route des cascades.. SUPER!

De retour au centre de Banos , on va manger à côté de l’hôtel. A 16h00 le Chiva music est là. On par pour la Casa del arbol. On est à 2680 mètres d’altitude… il y a plusieurs balançoires où on peut se balancer dans le vide! Impressionnant !

Banos Casa del Arbol 2 - Valerie Florval.jpg

Banos Casa del Arbol 1 - Valerie Florval

On part avec le chiva à un autre endroit et là une autre balançoire adrénaline puissance 10!!!! Moi je renonce , ça me fait trop peur! ( c’est 10 $ /pers pour les plus courageux). On revient à Baños, on a repéré un petit resto qui fait des cheviches à 6$. Raph n’est pas trop fan du poisson cru , il prend un « papi pollo » poulet frit avec frites pour 2,50 $ et une grande bière à 2,50$.

Nous reprenons le Chiva pour, cette fois, une visite de nuit jusqu’au mirador. Là, en plus de la musique, le Chiva est décoré comme un sapin de noël!! C’est vraiment la discothèque maintenant et à défaut d’un Mojito, ce sera un canelezo qui nous sera offert au Mirador. C’est une boisson à la cannelle chaude, le chauffeur du Chiva nous ajoute de l’alcool de canne à sucre. C’est bien venu, car à cette heure tardive, plus l’altitude, on a pas très chaud. La vue d’ici sur la ville de Baños éclairée est superbe. Raphaël se laisse tenter par un epis de maïs et une saucisse au barbecue .

On rentre à l’hôtel à 23h , on organise nos sacs car demain on repart pour l’aéroport de Quito pour prendre notre avion de retour pour Toulouse via Madrid.

14 mars 2017 – Détente aux thermes Baños avant le retour en France

Le matin nous faisons une dernière ballade, on prends un taxi (1.50$ ) pour les piscines naturelles qui se trouvent à 1,5 km de notre hôtel.
On achète des clémentines, spécialité de Baños et entrons, après avoir payé les 2 $ d’entrée, dans les thermes. On ne peut pas se baigner sans bonnet de bain, vous pouvez en acheter sur place. Il y a 3 bassins à températures différentes. Plusieurs cascades dont une grande alimentent les bassins. C’est une eau guérisseuse.

En sortant des thermes, sur la gauche, il y a une petite communauté de sœurs ; nous rentrons dans le jardin, il y a une petite boutique, tenue par les sœurs. On achète 2 petites effigies de la vierge de l’eau. La sœur nous propose de remplir nos bouteilles d’eau bénite à la petite fontaine à côté de la vierge, ce que je fais. Nous revenons à pieds dans le centre. Nous visitons l’église de Baños.

Nous prenons un papi pollo au même resto que la veille et allons prendre un café dans un petit endroit adorable que nous avons repéré la veille, c’est aussi une galerie de tableaux. Ça s’appelle : Aotearora galeria cafeteria. C’est adorable ! Le café et chocolat supers bons et pas chers ! Et le patron hyper hyper sympa ! Ne passez pas à Baños sans vous y arrêter ! C’est à 2 pas de notre hôtel et du terminal de bus. Il est 14h30 quand nous retournons à l’hôtel ; Hernan notre taximan nous attend.

Il nous faudra presque 4 h pour rejoindre l’aéroport. Il est 20h30 quand nous embarquons. Nous quittons le sol Équatorien avec des souvenirs plein la tête et surtout plein le cœur….

JE REMERCIE « TOUT EQUATEUR » ET SON EQUIPE POUR CE SITE REMARQUABLE, LEUR GENTILLESSE ET LEUR SÉRIEUX.

Valérie, Raphaël et Viviane

3 mars 2017 – Mitad del Mundo

Nous quittons le Rosario hotel (après les photos avec le très sympa propriétaire) pour rejoindre à pied (20 minutes), notre quartier général, le Solera House, là ou nous laissons nos gros sacs à dos en consigne pour ne prendre que l’essentiel afin de ne pas trop se charger. On s’arrête en route chez Édouardo qui a une boutique de cuir et on ne résiste pas aux sacs magnifiques et qu’il fabrique sur place. Lui et son épouse sont très chaleureux, nous faisons quelques photos ensembles, sa femme chante et fait des cd de ses chansons.

Mitad del Mundo 3 - Valerie Florval

De là, on prend un taxi (2$) qui nous mène à la station bus TEJAR, non loin de là pour prendre le bus jusqu’à Mitad del Mundo. C’est juste à côté du centre historique et ça nous évite d’aller au terminal bus la Ofelia à 45mn et 12$ en taxi de Solera. On attendra une dizaine de minutes après notre bus (il y en a souvent). Le trajet nous coûtera jusqu’à Mitad del Mundo la modique somme de 0.70$/personne. 45mn plus tard nous sommes à Mitad del Mundo. On se rend à l’entrée où il nous sera demandé 7,5$. Après la visite des quelques petits musées, nous faisons la photo sur la ligne du centre du monde : Latitude 00!!

 

Mitad del Mundo 2 - Valerie Florval (1)

Le soir, nous rentrons à Quito. Nous avons pas pu avoir la chambre de d’habitude, on nous donne une autre chambre de 3 mais avec la salle de bain à l’extérieur (ce qui nous arrange en fait car on paye 50$ au lieu des 80$ de l’ autre chambre pour nous 3). On prépare nos sacs, demain on part pour les Galapagos !

4 mars 2017 – Départ pour l’île de Santa Cruz !

Notre chauffeur de taxi (réservé la veille) vient nous chercher au Solera house à 9h et nous conduit en 45 minutes à l’aéroport pour 24$. C’est lui que nous avions pris hier pour nous déposer à la station bus TEJAR pour Mitad del mundo. Il parle très bien anglais et il pratique des prix très corrects.

On en profite pour lui demander de venir nous chercher à l’aéroport à notre retour des Galapagos. Et il nous amènera à Baños le lendemain (pour cette fois on ne prendra pas le bus, on veut économiser du temps car le lendemain soir on a notre avion de retour pour la France), il est d’accord pour nous conduire à Baños, nous ramener le lendemain directement à l’aéroport pour 150$ , on est trois , 50$/pers c’est raisonnable pour ce confort ( Baños est à 3h30 de voiture de Quito) .

Nous voilà à l’aéroport : 30° ! Ça nous change de Quito. Le chauffeur de taxi nous dira que février/mars /avril est la meilleure période pour les Galapagos, en juin/juillet et août il y a beaucoup de monde et tout est plus cher ! On doit passer le contrôle, on se rend avant au guichet INGALA (Institut national Galapagos ) pour se faire enregistrer et obtenir la TCT  » Tarjeta de control de transito  » et payer 20$/personne. Puis on passe un contrôle de bagages par signal pour vérifier que l’on a pas d’aliments frais ou plantes et après on peut aller s’enregistrer pour les places d’avion et déposer les bagages (nous on a qu’un sac cabine, on n’a pas voulu se charger et avons laissé nos sacs à dos au Solera house). Notre avion prévu à 13h10 est annoncé avec 2h de retard… On nous distribue des bons de 15$ pour aller manger. Ça y est on est dans l’avion, tout excités de nous rendre aux Galapagos. 2h15 plus tard on aperçoit les côtes de Baltra et Santa Cruz.

A l’arrivée, on payera 100$/personne de droit d’entrée au Galapagos. Un bus gratuit nous attend pour rejoindre le bac (1$/pers) pour la traversée très courte de Baltra à Santa Cruz. De là, on prend un second bus (2$/pers) pour Puerto Ayora où nous avons réservé notre hôtel (El Bambu 300$ pour 4 nuits pour 3 personnes). Le bus s’arrête à 5 minutes à pied de l’hôtel. On s’installe à l’hôtel puis on va dans la rue principale se balader et manger un peu. On se couche pas trop tard parce que le lendemain on se lève à 6h pour aller au port voir les pêcheurs.

5 mars 2017 – Centre Darwin et Tortuga Bay à Santa Cruz

6h00 debout, on se fait notre café dans la petite « cuisine » qui nous est réservée (un frigo, un micro ondes, un évier et quelques tasses et cuillères) entre nos 2 chambres du rez de chaussé une petite cour et une table feront l’affaire pour un petit déjeuner sympa avec du pain acheté la veille au soir au centre de Puerto. Nous voilà le ventre plein et près pour de nouvelles aventures aux Galapagos !

Nous nous dirigeons vers le centre Darwin et en chemin, un peu plus loin que l’embarcadère vers Darwin, un spectacle s’offre à nous… Les pêcheurs sont en train de préparer la vente de leurs poissons, nous observons pendant un bon moment les pélicans, les frégates et 2 lions de mer en attente d’un morceau poisson.

Santa Cruz Puerto Ayora Galapagos - Valerie Florval (1)

Santa Cruz Puerto Ayora Galapagos - Valerie Florval

Santa Cruz Puerto Ayora Galapagos Otarie - Valerie Florval

Nous avons du mal à laisser se spectacle ! Nous continuons néanmoins notre chemin vers le centre Darwin en se disant que l’on reviendra un autre jour tôt le matin ou en fin d’après-midi. Nous voici donc arrivés a l’ entrée de Darwin, on s’inscrit à l’entrée ( il faut donner son nom, son n° de passeport, la nationalité et l’heure d’arrivée .

Un petit chemin, dans le centre de Darwin, mène à une petite plage. On y voit nos premiers iguanes marins et des crabes rouges sur les rochers. Les iguanes ne sont pas agressifs, ils se chauffent au soleil…

Tranquillement nous revenons au centre-ville, pour manger un peu. Notre petit resto préféré est assez bon pour les plats du jour le midi est le « kiosque de Renato ». Après avoir réglé nos 6$ par personne pour le plat du jour (une soupe, 1 petit bol de riz blanc, un petit morceau de poisson nature ou poulet + un jus), c’est ce que nous mangeons à chaque repas car le reste dépasse notre budget journalier ! Quelques fois, on s’est offert un ceviche de poisson ou de crevette à 10$ (poisson cru mariné dans le citron, oignons et tomates crus coupés très fin, de la coriandre et servi froid ou tiède). Personnellement, je préfère froid. Il faut aimer le citron car ça nage dedans. C’est un délice !

Santa Cruz Galapagos - Valerie Florval
Le soir la petite rue est quasi vide de touristes par contre le soir….

Apres 10 minutes de marche, nous voilà donc sur le chemin de Tortuga Bay. Il fait + de 30°, le soleil tape ! Nous nous enregistrons à la petite cabane en début du chemin (attention, plus personne ne rentre après 17h). Le chemin est plutôt agréable, seul le soleil nous fait souffrir un peu ! PRÉVOYEZ DE L’EAU ! Pas de boutique en chemin. 40 minutes plus tard nous atteignons la jolie et grande plage de sable blanc. Il n’y a pas beaucoup de touristes, ce qui nous plaît bien.

Quelqu’un a fait une jolie sculpture de sable :

Santa Cruz Galapagos - Valerie Florval (1)

On aperçoit un lion de mer qui nage avec les quelques baigneurs. Super journée ! On a bien marché !

7 mars 2017 – Excursion à l’île Bartolomé

Santa Cruz Bartolomé Galapagos - Valerie Florval (1)

Santa Cruz Bartolomé Galapagos - Valerie Florval

7 mars 2017 – Rancho Primicias, Los Túneles, Los Gemelos, Las Grietas et Playa Los Alemanes à Santa Cruz

Aujourd’hui nous prenons un taxi pour 35$ pour aller voir el Rancho Primicias (tortues terrestres géantes) Los Tuneles (tunnel de lave) et los Gemelos (cratère). On s’amuse bien dans le tunnel de lave, la traversée prends une quinzaine de minutes. Les tortues sont impressionnantes !! On paie 3$ d’entrée.

Santa Cruz Tortue Galapagos - Valerie Florval

Santa Cruz Las Grietas Galapagos - Valerie Florval

Au retour, on demandera à notre taxi de nous déposer à l’embarcadère pour prendre un traversier jusqu’à la Playa Alemane 1$/pers. Arrivés 15 minutes plus tard, on passera la plage pour d’abord aller à Las Grietas (fissure). Quand on arrive, nous sommes très contents de faire un plongeon dans cette eau fraîche. On se baigne dans cette gorge creusée naturellement dans la roche.

Santa Cruz Las Grietas Galapagos - Valerie Florval (1)

On revient ensuite se reposer et faire du snorkeling à la plage Alemanes à l’ombre d’un arbre.

8 mars 2017 – Départ pour l’île d’Isabela

Pour Isabela, il y a 2 bateaux (1 le matin à 7h30 et l’autre à 14h30), c’est 60$/pers A/R. Des bateaux attendent pour différentes destinations, nous avons un badge qui nous est donné, notre bateau est le « Destiny » (24 personnes peuvent y monter). En attendant au port, voilà qu’un lion de mer monte le pont en frayant son chemin en criant pour le laisser passer et va finir son chemin sur un banc déjà occupée par une touriste pas très rassurée… et qui lui laisse la place.

Nous prenons un traversier pour rejoindre le Destiny, il y a 2 traversiers de 12 personnes, arrangez vous pour être dans le 1er pour pouvoir choisir vos places. La majorité des places sont à couvert, 6 places places sont à l’extérieur, juste couvertes d’un toit. Personnellement je choisis extérieur car je suis assez sujette au mal de mer… J’ai pris mes comprimés au gingembre, cela avait bien marché pour le tour à Bartolomé. Si vous craignez le soleil, il vaut mieux à l’intérieur mais vous ne voyez pas le paysage et moins d’air. Le traversier coûte 0,50$/pers et 1$ pour le traversier à Isabela.

Isabela Galapagos - Valerie Florval (1)

En arrivant à Isabela, on doit s’acquitter de la somme de 10$ à la descente du bateau (taxe). Le long du chemin on commence à voir plein d’iguanes qui se chauffent au soleil. Et sur la plage attenante , les lions de mer squattent les bancs ! Ils n’aiment pas beaucoup partager leur banc.

Isabela Galapagos Otarie - Valerie Florval

On va à pied à notre hôtel « Neptuno » situé à 1km de là. Une grosse pluie vient nous surprendre au moment où nous partons manger dans l’un des restaurant situé à 500m de l’hôtel. On choisit le « Dolphin ». Les prix sont encore plus chers qu’à Santa cruz ! On se replie encore une fois sur le menu du jour à 7$. Chouette il y a le ceviche au menu ! On va vite déchanter car ce n’est pas du tout du poisson cru frais mariné dans du citron mais un genre de rollmops en bocal coupé en petit morceau dans le citron. Pas très bon! La pluie est si forte que la rue principale d’Isabela ressemble à une rivière. Ce qui est typique à Isabela, ce sont ses larges routes de sable aux bordures hautes (maintenant on comprend pourquoi…)

Nous retournons à notre hôtel et là, la gérante de l’hôtel nous apprend que le compteur à sauté et donc plus de courant… Un technicien vient 1/2 heure plus tard et dit qu’il ne pourra réparer que le lendemain matin, nous sommes donc relogés dans un hôtel juste à côté.

9 mars 2017 – Isabela

Réveillés tôt, nous regagnons notre hôtel Neptuno. Le courant est rétabli et le soleil est revenu également. Nous faisons notre petit déjeuner à l’hôtel (il y a un frigo et une petite kitchenette à dispo) puis nous partons en direction du port à la « Perla del Concha », un petit chemin juste avant le port nous y mène. C’est un lieu sympa et gratuit où on peut faire du snorkeling. 2 iguanes sont entrain de se dorer au soleil sur le promontoire.

Isabela iguane Galapagos - Valerie Florval

Nous sommes seuls… chouette ! Nous enfilons nos combinaisons car l’eau est assez froide, nos masques, 2 petits escaliers mène à l’eau. Nous commençons notre exploration sous-marine.

Quelques jolis poissons, quelques étoiles de mer, soudain je vois un lion de mer arriver droit sur moi!!! Je ne sais pas trop quoi faire… et hop! Il passe sous moi! Trop rigolo… En voici un autre… il nagent autour de nous, c’est merveilleux ! Je suis à un mètre d’eux et je décide de faire un tourbillon histoire de jouer avec eux, et là, eux aussi font des tourbillons … c’est magique ! Je suis aux anges !!!

Isabela Otarie Galapagos - Valerie Florval (2)

Isabela Otarie Galapagos - Valerie Florval (1)

Après cette baignade merveilleuse avec les lions de mer, nous repartons tranquillement vers le centre du village quand un taxi s’arrête et nous propose un tour de l’île, il prends 70$. Il est très sympa , il s’appelle José. Prix pour réserve de tortues, flamenco, grotte tunnel de lave, promontoire (vue magnifique sur l’ile), le grand arbre, village. Négocié à 60 dollars pour nous 3 (le taxi). Très bien !

On commence par le lac aux flamants roses puis la réserve de tortues 2$/personne (je préfère celle de Santa Cruz car les tortues sont en liberté et bcp plus grosses). La grotte de lave est intéressante, dedans ça brille! On dirait de l’or !!! Puis on fait des photos près d’un arbre gigantesque. Et enfin on va jusqu’en haut du mirador El Mango. Nous avons fait une balade très sympa avec José. Il nous dépose devant un restaurant « Le Cesar » on commande, pour ne pas changer, le plat du jour à 7$, bon resto (mieux que le Dolphin).

10 mars 2017 - Île de Tintoreras

À 9h, un chiva vient nous chercher pour nous conduire au port, 10 minutes plus tard, nous prenons un traversier jusqu’à notre bateau. Nous sommes 12 personnes. Île de Tintoretas porte le nom des requins qui y nagent. C’est à 15 minutes de bateau de Isabela. Nous commençons par un repérage des oiseaux. Voilà les fameux fous à pattes bleues que je rêvais de voir…

Fous à pattes bleues (1)

Ensuite nous accostons sur l’île recouverte de lave , attention aux iguanes, on les voit à peine car ils sont de la même couleur que la lave et si on leur marche sur la queue, celle ci se casse mais ne repousse pas ! On voit un iguanes entrain de faire un trou (ça lui prendra 6h), pour pondre. Un peu plus loin, il y a une large fissure dans les rochers ou l’eau de mer arrive… c’est un endroit que les requins affectionnent beaucoup apparemment… On en voit passer 3 ! On vois aussi, un peu plus loin, une tortue de mer qui vient respirer à la surface… Trop belle ! En rebroussant chemin on croise un drôle d’oiseau au long cou…

Il est l’heure maintenant d’aller faire du snorkeling dans l’ocean. On va essayer de trouver des tortues de mer, des raies et requins… boo!!! Les requins… c’est pas ma « tasse de thé » mais je suis curieuse !!! Masque, combi, palmes (à disposition sur le bateau si vous n’avez pas les vôtres), nous voilà équipés pour 45 minutes de snorkeling. Au bout de 10 minutes, je rencontre ma première tortue de mer, elle est à 50 cm en dessous de moi!!! C’est très émouvant ! Puis une 2ème, une 3ème…

Notre guide pour ce tour plonge dans une espèce de petite caverne et là en sort 4 grands requins !!! Le guide nous a expliqué juste avant que ces requins sont très agressifs mais pas avec les humains. C’est tout de même assez flippant ! Nous verrons encore un 4ème tortue et de jolis poissons avant de remonter sur notre bateau (pas vu de raies ). Nous sommes ravis.

 

De retour à l’hôtel Neptuno, un peu de repos après une bonne douche s’impose sauf que… j’ai juste le temps de prendre une petite douche avant une panne d’eau qui durera jusqu’au lendemain. Nous partons vers la plage du village vers 17h et nous marchons sur le sable le long de la mer. On arrive à une maison cabane en bois où, des dizaines d’iguanes se chauffent sur les roches au soleil, encore brûlant à cette heure, on dirait une sculpture !

Isabela Iguane Galapagos - Valerie Florval (1)

Juste à côté on trouve un bar de plage bien sympathique et on décide de s’installer dans les poufs confortables. C’est le  » happy hour » les cocktails sont à 6$ au lieu de 8$… On se laisse tenter par un Mojito face à la mer ou le soleil comment à baisser. Un iguane nous observe du haut du balcon…Trop rigolo ! On assistera à un magnifique coucher de soleil sur la mer.

11 mars 2017 - Retour d’Isabela à Santa Cruz

Le lendemain matin on repart à la concha de la Perla en espérant retrouver nos amis les lions de mer, mais on arrive un peu trop tard, il est 9h et ils font déjà leur sieste sous les bancs. On ira donc tout de même faire du snorkeling mais sans nos amis cette fois… On verra tout de même un iguane nager des étoiles de mer et de jolis poissons.

Après le repas de midi, on récupère nos bagages au Neptuno hôtel, remplissons nos bouteilles d’eau (il faut savoir que partout en Equateur, aux Galapagos, il y a des fontaines d’eau filtrantes à disposition même dans le Lodge en Amazonie). Je trouve ça très intelligent car du coup moins de pollution avec les bouteilles plastique et pratique. Les bouteilles de bière achetées en magasin au Galapagos sont consignées, vous payez 4,50$ la grande bouteille et on vous rend 1$ si vous la ramenez.

Nous voilà au port afin de prendre le bateau de retour pour Santa cruz. Il est 14h30, nous prenons le traversier à 15h00 ( 1$/pers) puis le bateau. Cette fois nous ne sommes plus 24 personnes mais 8, ce qui nous donne plus d’aise qu’en venant ! Nous arriverons à Santa Cruz 2h plus tard , il est 17h00. Nous retrouvons notre hôtel El Bambu pour 1 nuit avant de reprendre l’avion le lendemain à 15h00. Dernière soirée aux Galapagos.

12 mars 2017 - Adieu aux Galapagos !

On décide de se lever à 6h00 pour profiter du spectacle irrésistible des « fishermen  » avec les pélicans et lions de mer qui attendent leur morceaux de poisson.La ville se reveille lentement . Quand on arrive au petit port, il n’y a personne… sauf un lion de mer qui dort tranquillement. On se renseigne auprès d’un local qui nous dit que le dimanche il n’y a pas de pêcheurs, ni de vente… Zut! Bon du coup on rentre à l’hôtel se faire le petit déjeuner. Notre hotel El Bambu est à 10 mn a pieds du port principal de Puerto Ayora

On attend notre taxi (car on est dimanche et pas de bus comme en venant) qui vient nous chercher à l’hôtel pour nous amener au bac (45 minutes, 25$ pour la course) pour prendre le traversier (1$/pers). Puis le bus gratuit qui nous amène à l’aéroport.

Suite et fin dans le prochain article…

 Valérie, Raphaël et Viviane